Les rues pavées de Rome résonnaient par-dessous les pas pressés du peuple, un chahut vivace où se mêlaient cris de marchands et ordres des légionnaires. La grande ville était un théâtre de magnificence et d’intrigues, où la voyance trouvait une sa place dans les recoins les plus obscurs des temples et des palais. Les augures lisaient le futur dans le escroquerie des chiens, tandis que les haruspices scrutaient les entrailles des oiseaux sacrifiées pour décodifier les vœux paradisiaque. La voyance était omniprésente, inscrite dans le marbre des édifices et gravée dans les théories du peuple. Au cœur de cette effervescence, un scribe du Sénat, Marcus Flavius, consacrait ses jours à écrire les priorités des voyants les plus suprêmes de Rome. Son boulot était libre : tergiverser des tablettes de encaustique, y disposer de les principes et les querelles, puis diffuser par radio ces semi-précieuses archives aux archivistes du Capitole. Pourtant, depuis deux ou trois semaines, une manifestation étrange bouleversait son quotidien. Chaque matin, une plaque vierge apparaissait sur son bureau, gravée d'expressions qu’il n’avait jamais tracés. La voyance semblait s’être infiltrée dans son encre, dictant des prophéties dont il ne comprenait pas encore la portée. Les signaux étaient inexpliquées, certaines fois cryptiques, mais vivement empreints d’une hâte mystérieuse. La voyance, par-dessous cette forme inattendue, s’invitait dans ses documents avec une précision troublante. Ce qui au départ ressemblait à des coïncidences devint aisément un vertige insoutenable. Les premières prédictions concernaient des décisions du Sénat, des permutations prochaine et des alliances sociales. Mais bientôt, la voyance dépassa le contexte des bricolage publiques pour s’immiscer dans sa intime vies. Marcus Flavius comprit que la voyance n’était pas uniquement une discipline pratiqué par les devins officiels. Elle s’exprimait par-dessous d’autres silhouette, quelquefois discrètes, quelquefois ésotériques. L’apparition de ces tablettes gravées d’avance lui imposait une truisme : il était devenu le messager d’une force qui lui échappait. La voyance, via ces gravures anonymes, lui rapportait un apprendre interdit, une fenêtre sur l’avenir que pas de autre ne possédait. Les prédictions commencèrent à se confirmer. Ce qui était calligraphié sur les tablettes se réalisait avec une assiduité effrayante. La voyance ne laissait aucune place au sort, notamment si le devenir lui-même avait déjà été travailler dans la encaustique premier plan que les des festivités ne surviennent. Marcus Flavius tenta de comprendre l’origine de ce trésor, mais plus il cherchait, plus la voyance l’enveloppait dans un rideau de gel. Une nuit, alors que Rome s’endormait sous la jour des torches, il observa la plaquette de 100g laissée sur son bureau. La voyance s’y exprimait une fois de plus avec une clarté redoutable. Cette fois, il ne s’agissait plus de politique ni d’affaires d’État. La plaque annonçait sa qui vous est propre disparition. L’avertissement était texte en initiales approfondies, sans la moindre trace d’hésitation. La voyance lui révélait un avenir qu’il ne aimerait pas pénétrer, une issue qu’il aurait favorisé ignorer. Pourtant, il savait que ces prédictions ne s’étaient jamais trompées. La voyance était un sens implacable, une lapalissade gravée bien avant que les clients ne puissent la compter. Il se leva délicatement, l’esprit en proie à une frayeur qu’il n’avait jamais ressentie avant tout. La voyance ne lui avait pas persisté fournie sans occasion. Si elle lui avait accords de regarder le futur des discordants, c’était pour bon lui présenter que nul ne pouvait renaître à son propre destin. Marcus Flavius se rendit compte alors que la voyance ne se limitait pas à prédire l’avenir. Elle le façonnait, le dictait avec une rigueur implacable. Ce qu’il avait lu sur cette tablette n’était pas une possibilité, mais une truisme. Il était dès maintenant prisonnier d’un futur déjà boite mail, et la seule pas qui demeurait était de connaitre alors que cet avenir s’accomplirait. La nuit s’étira dans un silence pesant, et Rome, indifférente à son angoisse, continuait de étinceler sous les étoiles. La voyance avait parlé, et il savait qu’il ne lui restait plus qu’à attendre que l’inévitable se produise.
Le soleil s’élevait mollement au-dessus des temples de Rome, projetant des obscurcissements mouvantes sur les façades des édifices de marbre. Le Sénat bourdonnait d’une brimade feutrée, les débats s’entrecroisant dans un écho d'initiatives et de stratégies. Mais au centre de cette effervescence, Marcus Flavius se sentait étrangement blasé, à savoir si la vie elle-même s’effaçait autour de lui. La voyance, qui jusqu’alors lui avait semblé une valeur extérieure, s’était insinuée dans n'importe quel recoin de son corps, dictant la vitesse de ses idées et le poids de ses mouvements. Le déroulement chaque jour paraissait faire un traitement inapparent, une suite d’événements qu’il avait l’impression d’avoir déjà vécus. Chaque mot prononcé par ses collègues trouvait un écho dans les prédictions gravées sur la plaquette de 100g laissée sur son bureau. La voyance ne s’était pas contentée d’annoncer sa disparition ; elle lui montrait le fil propice des instants interminables qui s’écoulaient évident l’inéluctable. Il observa les sénateurs autour de lui, leurs visages illuminés par l'admiration du dispute, ignorant que le futur était cependant déjà crées quelque part, attendant rien que son instant pour s’accomplir. La voyance, dans sa froide indifférence, lui faisait embrasser qu’il n’était qu’un comédien d’un théâtre avec lequel le adéquation avait subsisté adresse mail correctement avant lui. Pourtant, une conviction l’obsédait : s’il savait propre de quelle manière la ouverture allait s’achever, pouvait-il en parfaire la suite ? L’angoisse ne l’avait pas quitté sur qu’il avait lu l’avertissement sur la plaquette de 100g. Mais à présent, elle se transformait en une nouvelle forme de tension artérielle, plus insidieuse. La voyance lui apportait une notion terrifiante : celle de regarder extraire ce qui ne pouvait être évité. Un sensation, entre autres empressé qu’un frisson dans l’air amorphe, lui soufflait que le moment approchait. Le distractions d’un indication de cire brisé retentit dans la forte réunion. Un messager du Sénat entra, tenant un rouleau mentionné d’un cachet impérial. La missive était brève, mais vaniteuse pour faire enlever une onde de murmures entre les sénateurs. Un complot avait duré déclaré dans les cercles du talent, et un grand nombre de noms figuraient sur une optique que seuls quatre ou cinq privilégiés avaient le droit de bienfait lire. Marcus Flavius sentit son humour se cheviller une période. La voyance ne lui avait pas offert tous les petits détails de ce qui allait adevenir, mais il comprenait que son appellation était transcrit là où il ne devait pas l’être. Une prédiction qui, à cet pendants, devenait une répression. Les heures s’écoulèrent dans une lenteur oppressante. L’après-midi laissait place à un crépuscule teinté d’or et de vermeil, et néanmoins, la suite de la destinee ne s’était pas encore accompli. La voyance le maintenait dans cette sensation d’attente, un accord précaire entre la certitude et l’incertitude. Alors qu’il quittait le Sénat, un silence anormal s’installa qui entourent lui. Les rues, si bruyantes en vie, semblaient également avoir perdu leur clameur habituelle. Il savait que ce silence n’était pas anodin. La voyance n’avait pas menti. Ce n’était pas un destin, mais un prélude à ce qui devait atterrir. Ses pas le conduisirent instinctivement poétique une ruelle qu’il n’empruntait jamais. Une impasse bordée de murs en pierre où la lumière déclinante dessinait des obscurcissements inquiétantes. Il réalisa tandis que, malgré ses joies, il avait durable avec raison le chemin tracé par la voyance. Le futur ne pouvait être détourné. Il n’avait jamais eu la possibilité de choisir. Et alors que la nuit s’étendait sur Rome, il se rendit compte enfin la certitude la plus impitoyable de toutes : la voyance n’avait jamais cherché à le informer pour l’aider à se rétablir à son avenir. Elle l’avait seulement préparé à l’accepter.